Mes votes

Commentaires

  • Vous devez vous connecter pour poster un commentaire : Se connecter
Un commentaire est limité à 500 caractères maximum.
oxy

10/09/2022

Intégrer des projets de location-accession (PSLA) sur Ancenis ! Trop peu de projets en PSLA existent sur Ancenis, ce qui nous oblige (les jeunes) à devoir quitter la ville car les prix de l'immobilier nous mettent de côté ! En intégrant des maisons en PSLA Ancenis pourrait garder ses jeunes...

Francky.Stadelmann

16/04/2021

Les enjeux de l'urbanisme sont complexes, garantir les zones naturelles existantes, donc limiter l'expansion "horizontale", mais aussi continuer à développer l'attractivité de la ville et la croissance de la population, l'expansion "verticale" semble donc être une des solutions. Une charte raisonnée de l'urbanisme se doit de répondre à cette problématique, tout en garantissant aux habitants actuels de ne pas dégrader leur environnement proche. La législation n'est pas suffisante, les promoteurs sachant parfaitement agir à la limite de ces lois, souvent au détriment des citoyens. Il est nécessaire de contraindre les nouvelles constructions avec une charte raisonnée et tourner vers la durabilité et l'eco-responsabilité des constructions. Egalement pour chaque entreprise s'implantant ou rénovant ses bâtiments, eco responsabilité environnementale mais également sociétale. La friche de la gare devrait servir d'exemple à la municipalité pour faire un modèle d'urbanisme, avoir même le courge de lancer un eco-quartier, symbole fort sur cette ancienne friche industrielle. Je vous invite d'ailleurs à s'inspirer (à notre échelle) du modèle Danois https://www.arte.tv/fr/videos/063659-003-A/architecture-durable/ , avec de grandes sources d'inspirations pour transformer durablement le visage de notre ville.

Levant

02/03/2021

Cette initiative ne pourra fonctionner que si la confiance entre les citoyens et les élus est réciproque. Il est aussi d’aller de l’avant pour se projeter vers une action concertée de développement de notre commune. Que cette initiative soit accueillie positivement ou non cette transformation se fera car les habitants ont des demandes et les élus ont un programme à mettre en place. J'ai confiance dans l'attention de nos élus et dans leur volonté de gouverner avec nous. L'ancienne municipalité n'a eu pas l'envie d'intégrer les habitants dans les choix et la concertation. J’accorde donc le bénéfice du doute à nos représentants. C’est à nous citoyens d’être actif et vigilent pour négocier les règles de fonctionnement et obtenir des garanties pour que nous ne soyons pas là juste pour justifier d’une action citoyenne. C’est la première fois qu’une espace libre d’expression nous est offert par nos représentants. Je leurs fais confiance car ils sont imprégnés par la culture de la participation citoyenne. De plus, ils incarnent une équipe municipale jeune qui possède cette culture de la participation. Ils nous appartient en tant que citoyen d’y adhérer et d’être les acteurs de ce changement tout en étant vigilent.

CB

01/03/2021

Je rejoins les 3 commentaires précédents

Entre autre concernant le quartier dans le périmètre "centre-ville" délimité par exemple par D723, Bd. F. Robert/G. Clemenceau, Loire, Bd Montaigne, Urien, Lamoricière,
Force de constater une course effrénée (à venir) pour éradiquer les jardins dans le secteur pour des constructions neuves alors que de nombreux logements ou magasins sont fermés dans le centre-ville, pourquoi ne pas les réhabiliter.
Pour les professionnels des constructions à étage (s) pourquoi vouloir faire des immeubles dans les quartiers pavillonnaires en nuisant au voisinage provoquant une pollution visuelle et sonore, baisse de l’ensoleillement, vis-à-vis, promiscuité, problème de stationnement sans oublier la dépréciation des biens individuels.
Pour ces adeptes d’un ANCENIS à étage(s), la friche à côté du cinéma située à proximité de la gare ne gênerait personne, avec tous les avantages qu’ils veulent bien nous faire entendre. Ce devrait être leur terrain de jeux, mais non ils préfèrent détruire ce qu’il y a de plus agréable, ailleurs, sans se préoccuper des dires du voisinage.
Cette zone présenterait de nombreux avantages, proximité de la gare, du centre-ville historique, stationnement en conséquence, circulation plus fluide, et peut-être éviter la création de jardin sur un site probablement « pollué » par son passé.
Il est facile de planter des arbres pour se donner bonne conscience mais ne faudrait-il pas garder ceux déjà en place.
Hypocritement, nous nous interrogeront à nouveau lors d’un nouvel été caniculaire, de pluie diluvienne, où de l’absence d’un écosystème.
Bref, je pense qu’il serait urgent de revoir le PLU dans l’intérêt des riverains et non des promoteurs assoiffés par une densification sans limite pour faire le maximum de profit ou par orgueil au détriment d’une qualité de vie des habitants déjà en place.
Pourtant avec le contexte actuel, les gens fuient les immeubles pour se retrouver en maison avec un jardin.
Nous absorbons une partie des habitants déçus des 2 métropoles avoisinantes et recréons le phénomène à court terme à petite échelle.
Certes la demande de logement existe bien mais pas à n’importe quel prix.
Les élus devraient écouter les riverains et non les promoteurs.
Il faut savoir renoncer à certains projets, comme l’on comprit d’autres communes.
Ces bureaux d’études n’ont rien à faire de vos remarques ni les services sois disant compétents.
La nature en ville, s’agit-il simplement d’une étiquette pour la forme ?
Pour avoir écrit à 2 reprises lors du mandat précédent, les réponses ont été : pas concernée pour l’une, et pas de réponse pour l’autre, dans ce cas-là c’est toujours facile de vous proposer d’échanger.
Bref l’intérêt de ce site aura eu au moins le mérite de partager notre vision entre certains riverains, surement moins avec les élus

Levant

01/03/2021

Sans tomber dans la démagogie, l'ambition de cette initiative serait de trouver un consensus accepté entre le développement de l'urbanisme et le respect de l'habitat individuel et de son environnement proche. Pour y arriver un temps d'initiation aux fonctionnement de l'urbanisme à destination des citoyens volontaires est indispensable pour en comprendre le cadre de fonctionnement. Une participation aux réflexions des projets d'urbanisme et de ces schémas directeurs me semblent aussi indispensable. Je suis intéressé pour participer à ces réflexions.

Cali

16/02/2021

Créer une passerelle au-dessus de la D723 entre les 2 zones Espace 23 pour un meilleur dynamisme entre les 2 zones et permettre la réouverture de 2 commerces à la place de La Halle aux Chaussures et BioVive.
Cela sécuriserait les piétons et pourquoi pas créer également prévoir une allée pour les cycliste sur cette passerelle

GIRAUD GÉRARD

26/12/2020

D'abord, la mairie, avec les citoyens, doit choisir et définir l'idée globale de la ville en fonction des besoins et enjeux.
Et ensuite appeler les initiatives privées pour les projets importants.
Les opérateurs immobiliers ne devraient pas d'abord, et sans transparence, imposer leurs projets.
Un accès plus facile et plus compréhensible au PLU, pour identifier le sens des restrictions.
(Pas avec pour seul argument "c'est la loi").
Une part d'imagination dans la charte. Laisser la place à la ville de demain sans céder aux effets de mode (type chicanes rue des maîtres dangereuses pour les vélos)
Limiter (observer ?) le gaspillage dans les travaux de voirie :
Ex : tranchées creusées sur un bitume tout neuf ou aménagement neuf sur rues défoncées. Ex : rue des maîtres.
Des travaux pensés en liaison plutôt que bout par bout (tant que les machines sont sorties, et pour compléter les circuits)
Priorité ferme aux déplacements doux.
Des aménagements pensés en fonction de l'utilité sociale (santé, intergénération, possibilité de rencontres...)
Bénéficier de regards d'anthropologues ou de spécialistes type 27ème region sur les projets d'aménagement)

hdeb

20/11/2020

Lorsqu'elle existe, la concertation a lieu alors que le projet est à un stade
avancé et les oppositions déjà bien installées.

Peu d'élu·e·s ont lu la première ligne du code de l'urbanisme qui dit :
"Le territoire français est le patrimoine commun de la nation." et la suivante :
"Les collectivités publiques en sont les gestionnaires et les garantes dans
le cadre de leurs compétences."
Deux mots, "commun" et "garant", qui devraient encourager à prendre de
grandes précautions. Hélas le mot "commun", qui appartient à tous, se heurte
à la règle de la constructibilité, limitée certes mais variable au gré des initiatives
privées et des modes, et le "garant" mauvais gestionnaire n'encourt aucune
véritable sanction pour ses erreurs.
Ainsi voit-on cette coûteuse analyse, le rapport de présentation des documents
d'urbanisme qui justifie les mesures de planification prises pour le moyen ou le
long terme, bousculée l'encre à peine sèche par un projet imprévu. Cette instabilité
crée le soupçon d'autant qu'on sait que le contournement de la loi est un sport
national. Dans une commune que j'ai bien connue, l'avis de l'État sur un plan
d'urbanisme le qualifiait de "prime à l'illégalité" ce qui indiquait que le précédent
s'affranchissait lui aussi de ses obligations. C'est qu'il y a toujours beaucoup
d'argent en jeu. [https://www.cairn.info/revue-d-economie-regionale-et-urbaine-2016-4-page-767.htm#].

L'autre difficulté est le problème de la compétence.
Du côté des élus, il est souvent réglé par le choix d'un professionnel pour s'occuper
de ces questions avec les services mais le problème se reporte alors vers celui du
conflit d'intérêt. A leur décharge, certaines politiques nationales ont causé beaucoup
de dégâts, c'est évident pour le tout voiture et le tout camion, et pour ce phénomène
récent dont les effets pernicieux se font déjà sentir, la forme prise par la densification
des espaces urbains.
Du côté des citoyen·ne·s, l'intérêt pour l'urbanisme et l'architecture est le plus souvent
limité à leur intérêt privé. On notera qu'une des seules émissions d'architecture à la TV
est particulièrement élitiste.
On sait que la somme des intérêts particuliers ne fait pas l'intérêt général, mais un
quartier pavillonnaire qu'on couvre de bâtiments R+2 voire R+3, ou de terrains
minuscules, au nom de la densification et pour cause de prix du foncier, c'est
finalement la loi du plus fort dont la conséquence sera un déplacement de la population
qui le peut vers d'autres lieux plus vivables. Il existe donc des cas où intérêts particulier
et général se rejoignent.
Il faudrait rechercher des moyens de former les citoyens à l'urbanisme et à l'architecture
en partageant les compétences des professionnels par des conférences d'architectes,
d'ABF, de professionnels du bâtiment et aussi grâce à la participation à des projets.
Par exemple le verdissement des rues [https://www.adu-lille-metropole.org/wp-content/uploads/2016/11/cahier5.pdf]
est un cas simple où des échanges peuvent avoir lieu avec des agents de la fonction
publique ou territoriale spécialistes de leurs domaines : droit du sol, urbanisme, bâti,
paysage, végétaux.
Évidemment, les élus n'aiment guère ce qui vient ralentir ou freiner leur pouvoir mais
ce n'est pas une perte de temps si au final on limite les confrontations ou les projets
aberrants.
Par ailleurs, avec le changement climatique les enjeux sont considérables, ils forceront
à sortir des sentiers battus, des habitudes.
Plus les citoyen·ne·s seront éduqué·e·s mieux ils/elles pourront être informé·e·s et agir.

GFA

04/11/2020

Dans un périmètre "centre ville" délimité par exemple par D723, Bd. F. Robert/G. Clemenceau, Loire, D23, Bd Montaigne, il me parait important de limiter la prolifération des immeubles et/ou de la hauteur des projets. Ne pas ajouter de nouvelle constructions plus hautes que la moyenne des bâtiments existant (limiter à R+2 ?). L'harmonie du bâti et la perception d'un centre ville homogène me semble important pour la ville.